Organisés par une ASBL (Association sans but lucratif),
ils se sont joués sur 16 terrains et sous chapiteau. L'ambiance
était certes conviviale, mais une promiscuité trop
importante avec le public a nui à certaines équipes.
D'une manière générale, ce championnat se situe
dans la norme avec une finale au-dessus de la moyenne et quelques
beaux coups. Le principal enseignement à tirer est que les
nations qui ont consenti des efforts pour préparer leur équipe
nationale progressent rapidement, même parmi les nouvelles
nations. Certes, cela ne se traduit pas toujours en résultats
immédiats, mais leur volume de jeu a significativement évolué
: La Hollande, le Danemark et la Pologne sont trois exemples parmi
d'autres. Une autre caractéristique est l'arrivée
de nouvelles nations qui se poursuit, même si les joueurs
n'évoluent pas forcéement dans le pays: le cas extrême
étant l'Arménie qui évoluait avec quatre marseillais.
En ce qui concerne l'équipe suisse, elle n'a pas eu le rendement
habituel et attendu, après 3 quarts de finales successifs.
Arrivée en 4ème place du groupe, c'est le jeu des
victoires et défaites qui leur a été défavorable.
Entrée difficilement dans le championnat, quelques coups
malheureux, notamment contre Djibouti et l'Arménie, elle
se retrouve du mauvais côté de la barrière.
Il aurait pu en être tout autrement pour un rien. Ainsi va
la vie et ce n'est pas France1 qui me contredira après leur
victoire contre le Maroc, équipe qui ne se fait pas remarqué
par sa sportivité. Quant aux résultats, vous les avez
ailleurs sur ce site
DAYER Marcellin
Responsable Formation
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